Durant trois journées, j’ai eu l’occasion d’échanger et de discuter avec les habitants, les acteurs associatifs, les
entrepreneurs, les agriculteurs et les élus locaux du Brivadois, du Langeadois et du pays de Saugues. Autant de moments où j’ai pu appréhender cette peur du lendemain face à la crise économique
qui continue hélas, de toucher dans leur chair de trop nombreuses familles ; autant de moments également où j’ai pu sentir ce besoin de justice sociale, cette soif de progrès, cette demande
d’une autre politique que celle menée par le gouvernement et l’UMP, politique qui abandonne les plus fragiles, tant les hommes que les territoires.
De ces échanges, je ressors convaincu que le rôle de bouclier social que les socialistes assignent à la Région est primodial. Ce rempart contre les injustices, nous le concrétiserons à travers un
soutien fort à la jeunesse avec le
Pack Jeune Adulte (aide au logement, au permis, à la mutuelle santé); nous le mettrons en œuvre avec le
Contrat de continuité professionnelle pour les salariés qui sont au chômage ; nous l’impulserons au service d’une ruralité revivifiée avec un accompagnement solidaire des territoires
d’Auvergne, avec des aides pour des
maisons de santé et des logements en milieu rural, des investissements
pour une agriculture de montagne pérenne et qui fasse vivre nos exploitants.
Victor Hugo affirmait que les « classes souffrantes doivent devenir les classes heureuses ». Plus que jamais, c’est le but que je m’assigne pour les femmes et les hommes d’Auvergne, en portant sans cesse ce beau combat qui fait rimer liberté et égalité, innovation et solidarité. Parce que l’Auvergne n’est grande que lorsqu’elle est juste !