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28 janvier 2008 1 28 /01 /janvier /2008 09:49

« Oui au débat,
Non au désengagement de l’État »

Le débat avec le Préfet de région Auvergne organisé ce mardi 22 janvier 2008 par Clermont 1ère et le journal La Montagne aura permis, je l’espère, d’aborder la décentralisation et ses conséquences financières sous un angle pédagogique.

Cet exercice est cependant difficile compte tenu de la réalité des finances publiques qui, loin d’avoir été simplifiées sont devenues, avec le temps, encore plus complexes. L’occasion nous fut cependant donnée de rappeler les compétences transférées par l’État aux Régions en vertu de la loi du 13 août 2004 et les incidences financières pour notre collectivité.

Je rappelle que notre Région a aujourd’hui intégré 1 200 agents des lycées, et qu’elle assume, à travers un syndicat mixte, la propriété de l’aéroport de Clermont Ferrand, qu’elle a en charge les formations sanitaires et sociales (assistantes sociales, infirmières, ambulanciers, sages-femmes, masseurs kinésithérapeutes …).

Loin d’être compensé à l’euro prés comme le prévoit pourtant la Constitution, ces transferts représentent des charges supplémentaires pour notre collectivité.

C’est ainsi que les conclusions de deux études réalisées par deux cabinets indépendants sont sans appel. Elles permettront d’ailleurs de consolider le recours contentieux qui sera fait devant la juridiction administrative lorsque le travail d’analyse et d’expertise sera définitivement achevé.

La non-compensation pour les agents des lycées et les formations sanitaires et sociales portent au total sur prés de 8,9 millions €. Avec l’aéroport ce sont encore 2,166 millions € à la charge de 3 collectivités que sont le Conseil général du Puy de Dôme, Clermont Communauté et le Conseil régional d'Auvergne. Ces chiffres sont autant de faits établis qui ne peuvent être contestés.

Je ne me fais guère d’illusion sur les objectifs du gouvernement qui souhaite pour des raisons financières et électorales, d’une part, transférer des charges compte tenu du niveau d’endettement de notre pays et, d’autre part, contraindre les régions (dont 20 sur 22 sont dirigées par des président(e)s socialistes) en les obligeant à augmenter la pression fiscale.

La ficelle est un peu grosse et je n’aurais de cesse de dénoncer ce désengagement à l’instar de mon collègue Alain Le Vern, Président du Conseil régional de Haute Normandie, qui qualifie lui-même la compensation financière de mensonge d’État à l’encontre des collectivités.

L’émission qui fut diffusée en direct par la chaîne Clermont 1ère est également disponible sur le site Internet de Clermont Première ou en utilisant l'adresse suivante:

http://www.clermont1ere.com/programme_liste.php?em=8&id=1140&page=1


Je vous invite à la visionner et à me faire part de vos observations.

Je suis prêt également à répondre à toutes les questions que vous voudrez me poser via ce blog.

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14 janvier 2008 1 14 /01 /janvier /2008 14:28
Nicolas Sarkozy avait promis durant la campagne électorale de s’attaquer au cumul des mandats. Il n’en fera rien ; le projet de réforme des institutions est muet sur ce point. Voilà une promesse qui ne sera pas tenue malgré ses engagements « je ne vous trahirai pas, je ne vous mentirai pas ».

Sur le plan régional, il est cocasse de voir que M. Hortefeux a renoncé à se présenter à la mairie de Clermont-Ferrand au motif officiel qu’il n’est pas assez disponible et qu’il entend se consacrer à son mandat de conseiller régional ! En réalité, M. Hortefeux est très absent du Conseil régional ! Il n’a que très rarement assisté aux commissions permanentes depuis 2004 ! Il fait des « apparitions » en session. Néanmoins, il ne se cache pas de vouloir briguer la présidence de la région en 2010. Autrement dit, il est trop occupé pour briguer la mairie de Clermont Ferrand, il ne trouve pas le temps nécessaire pour assumer son mandat de conseiller régional, mais, le moment venu, il expliquera qu’il est tout à fait disponible pour être président de région !

Le cumul des mandats et des responsabilités est une insulte à la démocratie donc aux citoyens.
Pour prendre l’exemple de la Région, comme président, je m’y consacre à plein temps ; le matin, j’arrive au bureau à 8 h et quand je peux en sortir vers 20 h-20h30, je trouve que c’est une journée calme ! Très souvent, le retour se fait vers 23 h-minuit, voire plus, lorsque je dois effectuer des déplacements dans la région.

Le cumul implique de ne pas exercer directement les responsabilités, mais de s’en décharger sur un cabinet, donc sur des collaborateurs politiques. La France est le seul Pays d’Europe où ce cumul soit possible. Depuis 30 ans, le PS s’engage à lutter contre ce cumul, sans avoir eu le courage politique d’y mettre fin.
Quant à la droite, elle fonde sa « maîtrise » des zones rurales en particulier sur ce cumul. Il est frappant de voir sur le terrain ces maires ruraux complètement paralysés par les « grands élus ».
La modernisation de la France passe aussi par le mandat unique d’élu. C’est la règle que je me suis fixée. C’est la raison pour laquelle je n’ai pas voulu un nouveau mandat d’élu municipal à Aurillac.
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3 janvier 2008 4 03 /01 /janvier /2008 16:27
Pour une Auvergne qui gagne

A toutes et à tous, je formule des vœux de bonheur et de santé. En ce début d’année, je pense plus particulièrement à ceux qui souffrent. N’oublions pas que la maladie, la solitude et la pauvreté sont des maux qui frappent trop de nos concitoyens et que la période des fêtes n’en est pour eux que plus difficile. Cela m’amène à constater que le lien social et la solidarité, la santé publique ou encore les actions en faveur de l’emploi et du pouvoir d’achat constituent des priorités pour les élus locaux et nationaux.

Sur ces trois points, le conseil régional d’Auvergne entend jouer pleinement son rôle, au regard de ses compétences et de ses moyens.

Lorsque la région organise l’étape 2007 des assises territoriales, elle encourage le dialogue et entend jouer son rôle de fédérateur des énergies pour plus de solidarité entre les femmes et les hommes d’Auvergne et entre ses territoires.

Lorsque la région déploie depuis plusieurs mois une politique en matière de santé pour assurer un niveau satisfaisant de présence médicale dans les territoires les plus isolés, elle entend répondre à un défi majeur qui préoccupe nos concitoyens alors que l’Etat ne joue plus son rôle de régulateur et instaure des franchises médicales coûteuses pour les familles les plus modestes.

Lorsque le conseil régional accorde un chèque livre ou finance l’équipement professionnel des lycéens et des apprentis, qu’il instaure un dispositif de solidarité pour permettre à tous l’accès à la restauration scolaire, qu’il accorde des bourses à la mobilité en faveur des lycéens et des étudiants ou encore qu’il prend en charge les frais des formations sanitaires et sociales, il contribue à renforcer le pouvoir d’achat de nombreuses familles auvergnates au nom de la solidarité et de l’avenir de la jeunesse.

Il en est de même pour les demandeurs d’emploi à travers la tarification SNCF décidée en 2004 qui se traduit par des conditions plus avantageuses pour l’accès au transport. Cela vaut aussi à un autre niveau pour les ménages propriétaires de leur logement qui bénéficient de chèques énergie pour effectuer des travaux et des aménagements plus respectueux de l’environnement.

Toutes ces mesures ciblées et qui correspondent à des choix politiques sont autant d’aides directes en direction de ménages de plus en plus confrontés à la vie chère et à la baisse de leur pouvoir d’achat.

Je formule également le vœu que chaque auvergnat contribue, à son niveau, à rendre notre région plus attractive. Notre politique d’accueil de nouvelles populations, comme l’a indiqué une récente étude de l’INSEE, commence à porter ses fruits et l’auvergne accueille aujourd’hui plus d’habitants qu’elle n’enregistre de départs. Ce défi majeur pour que notre jeunesse puisse rester vivre et travailler en Auvergne nous concerne tous et doit mobiliser toutes les énergies.

Je souhaite une Auvergne qui gagne. Notre région doit gagner en notoriété, en visibilité et mieux véhiculer et valoriser ses atouts en terme de qualité pour tendre vers une croissance durable. Qualité des hommes et des femmes, qualité de nos produits et de nos productions qu’elles soit agricoles ou industrielles, haute qualité technologique, qualité de notre cadre de vie : autant d’éléments qui plaident en faveur de l’Auvergne et sur lesquels le conseil régional entend s’appuyer pour créer les conditions d’un modèle original de développement plus respectueux de notre environnement et de la solidarité entre les territoires qu’ils soient urbains ou ruraux.

Je souhaite que les dossiers sur lesquels la région s’est fortement mobilisée en matière de désenclavement connaissent des avancées significatives et même des résultats. Le désenclavement numérique avec la couverture totale des communes d’auvergne en haut débit sera finalisé d’ici le premier semestre 2009. L’auvergne deviendra l’exemple national compte tenu de la qualité du partenariat obtenu avec l’opérateur et l’ensemble des départements. Je formule également le vœu que l’Auvergne bénéficie d’un plan de rattrapage exceptionnel de la part de l’Etat concernant nos infrastructures ferroviaires compte tenu du retard auquel notre région est confrontée. Cela passe par une remise à niveau de notre réseau de lignes régionales et par des actes concrets attendus du gouvernement en faveur des dossiers TGV. La région œuvre sans relâche pour une croix ferroviaire qui combinera à terme les liaisons Clermont – Paris et le TRANSLINE qui offrira à plus long terme une transversale à grande vitesse entre Poitiers – Limoges – Clermont – Ferrand et Lyon. Je souhaite enfin que l’aéroport de Clermont – Ferrand connaisse avec son nouveau gestionnaire un vrai décollage qui profitera à toutes les activités économiques de notre région et plus particulièrement aux filières aéronautiques et touristiques.

2008 sera une année pleine de projets et d’espoirs pour l’Auvergne. Elle sera donc une année de grande activité pour le conseil régional et pour ses élus. A l’approche d’échéances électorales importantes, j’ai souhaité ne pas être candidat pour me consacrer à temps plein à la mission qui est la mienne au sein du conseil régional. Je crois au mandat unique. Je crois en l’Auvergne et aux nombreux talents des auvergnats.

Bonne et heureuse année à toutes et à tous.




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14 décembre 2007 5 14 /12 /décembre /2007 18:00

Jean -Paul DENANOT (LIMOUSIN), René SOUCHON et François BONNEAU (CENTRE)

 

TGV : l’Auvergne, le Centre et le Limousin ont droit à la grande vitesse !

Aujourd’hui, ce formidable lien au monde qu’est le TGV permet de franchir les obstacles de la distance tout en étant une solution d’avenir face à l’épuisement des énergies fossiles et de préparer la sortie du tout-routier.

En France et en Europe, de nombreux projets de TGV à l’horizon 2015-2020 sont en discussion. Pour certains, les travaux sont déjà en cours. Dans ce maillage, le Centre de la France et le Massif Central ont longtemps été oublié.

Or, les solutions pour l’attractivité et le dynamisme de nos territoires sont à portée de main ! La ligne TGV historique Paris-Lyon sera bientôt saturée et tout le monde convient qu’il est urgent d’explorer des scénarios alternatifs à la vallée du Rhône.

Face à cet étranglement certain, un nouveau TGV Paris-Lyon par l’ouest contribuerait à rapprocher le Centre et le Massif Central, non seulement de Paris ou de Lyon, mais au-delà, vers maintes destinations aujourd’hui éloignées (arc méditerranéen, nord et est de la France et de l’Europe).

C’est pourquoi, parce que la question du TGV n’est plus seulement une question de transport, parce que l’aménagement du territoire national et européen doit être pensé de manière équilibrée, solidaire, au service du désenclavement de tous et de la mobilité de chacun, autant sur les axes nord-sud qu’est-ouest,

Parce que c’est une question de dignité et d’égalité des droits,

Les présidents des Régions Auvergne, Centre et Limousin prennent acte de l’annonce de Monsieur le Secrétaire d’Etat aux Transports, Dominique Bussereau, de la mise à l’étude par Réseau Ferré de France d’un doublement de la ligne TGV Paris-Lyon par l’ouest. Elles manifestent leur intérêt et demandent que cette annonce fasse l’objet de futures réalisations. Les régions rappellent par ailleurs qu’elles souhaitent que les engagements pris par RFF de réaliser la liaison LGV Poitiers-Limoges soient strictement tenus dans les délais les plus brefs.

Les présidents des Régions affirment leur volonté d’œuvrer avec l’Etat et l’ensemble des collectivités locales afin que ce projet majeur soit retenu lors du Comité Interministériel d’Aménagement et de Compétitivité des Territoires (CIACT),

Outre le doublement Paris-Lyon par l’ouest, les présidents des Régions rappellent leur attachement à la réalisation rapide des TGV est-ouest TRANSLINE (dont la LGV Poitiers-Limoges est un des éléments) et du Paris – Orléans – Limoges – Toulouse (POLT).

Les Présidents des Régions Auvergne, Centre et Limousin entendent travailler ensemble sur ces enjeux et attendent désormais des actes. Ils attendent de l’Etat un engagement fort qui permette la complémentarité des projets existants et des projets nouveaux.

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11 décembre 2007 2 11 /12 /décembre /2007 15:21

Le conseil régional d'Auvergne organise l'étape 2007 des assises territoriales. A cette occasion, un observatoire des  82 engagements pris devant les auvergnats voici 3 ans rendra public son rapport sur l'action de la collectivité régionale. Je vous invite à participer à ce rendez vous qui aura lieu au Polydome de Clermont-Ferrand ce mercredi 12 décembre 2007 à partir de 19h30. Cette restitution finale se produit après 3 forums départementaux qui se sont tenus en Haute-Loire, dans le Cantal et dans l'Allier. A très bientôt.

 

 

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22 novembre 2007 4 22 /11 /novembre /2007 15:16
Prix des carburants

Madame LAGARDE, Ministre de l’économie et des finances, recommande aux automobilistes de moins rouler et aux compagnies pétrolières de limiter leurs profits. Sur ce dernier point, elle a raison.
Toutefois, ne perdons pas de vue que sur 100 euros de dépense de carburant sans plomb 95, il y a 55 euros de taxes intérieures sur les produits pétroliers et 16 euros de TVA.
En 2002, Monsieur RAFARIN a supprimé la TIPP flottante instaurée par Laurent FABIUS. Madame LAGARDE ne propose pas de revenir à cette taxe flottante qui avait pour but d’empêcher l’Etat d’engranger plus de rentrées fiscales quand le cours du brut progressait. Les taxes d’Etat représentent 65 % du coût payé à la pompe.
C’est la 4ème source de revenus pour le gouvernement, il faut donc balayer devant sa porte avant de demander des efforts aux autres !



Le coût du TGV

Un TGV Paris – Orléans - Bourges- -Clermont-Ferrand – Lyon devrait coûter au moins 4 milliards d’euros. Cette somme paraît astronomique, toutefois si on la met en rapport avec les 15 milliards d’euros de cadeaux fiscaux faits en juillet par Monsieur SARKOSY aux plus riches, on voit que ce n’est pas exorbitant et au contraire, tout à fait réaliste.
Gouverner, c’est choisir.




















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9 novembre 2007 5 09 /11 /novembre /2007 15:19
Brice HORTEFEUX a besoin de se construire une popularité en Auvergne, lui qui est marqué à droite voire très à droite, en raison de sa politique sur l’immigration.

L’affaire des tests ADN, très mal perçue, y compris par certaines autorités religieuses (cf la position de l’évêque de Clermont Ferrand), n’arrange pas ses affaires.

il sera peut-être candidat à la mairie de Clermont-Ferrand (c’est peu probable à mon avis) et à coup sûr, candidat à la Présidence du Conseil régional en 2010.

Tout est bon pour s’imposer en Auvergne et l’annonce d’une étude de faisabilité d’une ligne grande vitesse : Paris – Clermont-Ferrand – Lyon rentre dans sa stratégie de conquête.

Cette annonce ressemble d’ailleurs à de la récupération politique à laquelle nos ministres auvergnats recourent de plus en plus souvent. Monsieur WAUQUIEZ semble être le maître incontesté en la matière.

Monsieur HORTEFEUX n’a jamais parlé de la ligne à grande vitesse avant le 24 septembre 2007. Mieux vaut tard que jamais, il est vrai. Avant cela le réseau Clermont Auvergne Métropole, présidé par Serge GODARD et qui regroupe les villes de Clermont- Ferrand - Vichy - Le Puy – Aurillac travaillait depuis l’automne 2006 sur le sujet, avait arrêté début août dernier un cahier des charges d’une étude co-pilotée et co-financée par le réseau de villes et le Conseil régional d’Auvergne.
C’est pour ne pas se laisser doubler que Monsieur HORTEFEUX a sollicité Monsieur BUSSEREAU, Secrétaire d’Etat au Transport, afin qu’une annonce soit faite dans les meilleurs délais !
Avec son zèle habituel, Monsieur PRORIOL qui est de plus en plus déconnecté des réalités en a profité pour tirer à boulet rouge sur l’hypothèse de la ligne à grande vitesse TRANSLINE, portée par l’association ALTRO….. dont je suis devenu le Président lors de l’assemblée générale à Poitiers.
Cette ligne, dont la promotion est faite de façon régulière par le Conseil économique et social d’Auvergne, présidé par Monsieur DOLY.

Monsieur PRORIOL a oublié dans son élan zélateur de préciser que le tronçon Clermont Ferrand – Lyon dans l’hypothèse d’une nouvelle ligne grande vitesse Paris – Clermont-Ferrand – Lyon n’a que plus de sens avec la transversale : TRANSLINE peut se réaliser ! Hors, celle-ci peut déjà bénéficier de la décision de mise en œuvre du Poitier - Limoges et du Lyon - Turin.
Pour l’heure, l’annonce par Messieurs HORTEFEUX et BUSSEREAU d’une étude dont on ne peut que se réjouir n’engage à rien !
Il faut cependant maintenir la pression sur le gouvernement et même l’accentuer de façon à ce qui pourrait être une simple annonce à finalité électorale devienne réalité et serve les Auvergnats.

L’Auvergne a besoin d’un Train à Grande Vitesse :  c’est un problème de dignité et c’est un élément essentiel du développement futur de notre région.
Les Auvergnats se moquent des effets d’annonce, il y a en déjà tellement eu, mais ils jugeront sur les réalisations.

Pour notre part, nous disons depuis des mois que l’Auvergne peut et doit être demain à un carrefour de ligne à grande vitesse, c’est pourquoi nous défendons à la fois la ligne Nord Sud, alternative à la vallée du Rhône (je rappelle que la région participe financièrement à l’étude de Clermont Auvergne Métropole) et la transversale TRANSLINE.
Ces deux projets sont complémentaires et pas concurrents comme l’a d’ailleurs rappelé le secrétaire d’état aux transports lors de la récente rencontre nationale du transport public .





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5 novembre 2007 1 05 /11 /novembre /2007 16:55

TGV

L'auvergne et le massif central ont droit à la GRANDE VITESSE : Vous pouvez signer la pétition en rejoignant le site du conseil régional d'auvergne   www.auvergne.org/petition
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17 octobre 2007 3 17 /10 /octobre /2007 17:33

TGV

La mauvaise foi de la droite auvergnate

 

 

 1-   C’est d’abord Brice HORTEFEUX qui s’approprie le projet de TGV Nord-Sud alternatif à la vallée du Rhône. En réalité, Monsieur HORTEFEUX n’a jamais parlé de cette hypothèse avant le 24 septembre 2007. Or, le réseau Clermont Auvergne  Métropole travaille sur cette question avec la Région depuis de longs mois. C’est le 2 août que le cahier des charges de l’étude lancée  par Clermont Auvergne Métropole et la Région   a été finalisé, le document est daté, ce qui rend la démonstration aisée.

 

 

2 -La droite du Conseil régional et notamment Monsieur PRORIOL -car Monsieur HORTEFEUX vient très rarement-,  ne manque jamais une occasion de trouver l’endettement  régional excessif, la fiscalité trop élevée, mais … propose à la Région   de réaliser un emprunt pour financer les travaux de régénération du rail   qui … incombent à l’Etat, donc au gouvernement via Réseau Ferré de France.

Ces messieurs sont en pleine contradiction. Comment  peut-on demander une chose et son contraire ? Ils pourraient aussi préciser que la Région paie chaque année à Réseau Ferré de France 14 Millions d’euros de péage pour faire circuler ses trains sur des voies en mauvaise état !! Ce que voudraient Messieurs HORTEFEUX , PRORIOL et consorts, c’est appliquer à la Région la double peine : payer les péages et de plus, financer les investissements des voies sur lesquelles le péage est déjà payé. C’est comme si les automobilistes sur les autoroutes à péages devaient en plus de ce dernier, participer directement à l’investissement d’entretien et de modernisation !!

 

 

 

 

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3 octobre 2007 3 03 /10 /octobre /2007 15:09
La Turquie doit-elle entrer dans l’Union européenne ?
Vaste débat, non tranché à ce jour.
Pour ma part, je balance toujours entre l’idée que la Turquie n’est pas un pays européen et qu’il faut arrêter de repousser sans cesse les limites de l’Europe et la nécessité d’intégrer un état frontalier, des pays en plein désordre ou soumis à l’intégrisme islamique (Irak-Iran).

Au cours d’un aller/retour rapide à Istambul, pour assister au bureau de l’association des régions d’Europe, j’ai pu constater depuis ma dernière visite qui datait d’une quinzaine d’années, combien la partie européenne de la Turquie (Istambul) avait évolué et combien l’aspiration à entrer dans l’Europe était grande.

L’état Turc fait indiscutablement de très gros efforts même s’il en reste beaucoup encore à accomplir pour rendre ce pays « euro-compatible ».

De ce point de vue, la réforme régionale turque qui est en cours, va dans le bon sens, puisqu’elle consiste à donner des compétences de plus en plus étendues aux régions et à leur confier des responsabilités politiques qu’elles n’avaient pas jusqu’à présent.
Quant à la jeunesse turque d’Istambul, j’ai pu constater qu’elle vivait véritablement à l’heure européenne.







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